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7 commentaires

  1. Avec un certain sarcasme, ne sommes nous pas des faibles qu’ils faut protéger, qu’y sont en poste pour remplir certains critères à remplir et ce sans compter la supervision qu’on demande LOIL

  2. Définitivement et pour la simple raison que plus il y aura de personnes en situation de handicap dans la sphère publique, plus il y aura de chances que leurs revendications soient entendues. Ceci dit, ce n’est qu’une facette du problème et il ne faut pas non plus attacher trop d’importance à la représentation politique dans le cadre actuel car la « gérance » politique se fait de plus en plus en fonction des sondages et des gains électoraux. En ce sens, la situation actuelle est des plus décourageantes… Comme les personnes en situation de handicap ne représente pratiquement rien en termes de gains électoraux, les partis (surtout au provincial) n’en tiennent tout simplement pas compte. Des exemples des plus navrants : le « mouvement » contre la « réorganisation du Centre de Réadaptation Lucie-Bruneau, les pressions pour mettre fin à l’incroyable injustice concernant la rente d’invalidité vs la rente de retraite à 65 ans… On entend parler à l’occasion de quelques luttes et revendications et puis… plus rien… à peine quelques semaines de discussions ou de nouvelles… et encore ! Au Québec malheureusement le « bassin » de gens prêts à s’impliquer ou du moins s’intéresser de près ou de loin à la chose, s’avère fort restreint et forcément quand il y a le moindre mouvement de revendications les effectifs sont bien limités et l’impact peu perceptible…

  3. Avoir des personnes en situation de handicap qui occupent des postes de décideurs serait déjà une avancer. Mais c’est insuffisant.

    Collectivement, les personnes en situation de handicap doivent se représenter elles-mêmes aux diverses instances et ne plus se fier sur des organismes de représentations qui ont tous des agendas différents.

    Nous devons être au front et les personnes valides qui disent nous appuyer doivent rester en arrière-plan.

    Personne n’est mieux placé que nous pour créer et obtenir des solutions qui respectent nos droits et notre humanité.

    C’est la seule façon que les choses aient jamais changée.

  4. Bonjour,
    Oui, il faut plus d’implication politique des handicapés pour faire bouger les choses. Cest malheureux, mais l’histoire nous confirme que c’est le cas.

  5. Rien de moins certain puisque le chef impose la ligue de partie. Or, être en situation de handicap ne suffit pas pour faire changer les choses….Le ou les candidats doivent porter une vision globale tant du point de vue politique , judiciaire ou morale ……Le handicap devant être considéré en tenant compte de l’ensemble des dossiers qui du reste devraient être « gérés » suivant le principe de l’inclusion sociétal universel. Par ailleurs , être un candidat handicapé ne suffit pas puisque les électeurs doivent voter ledit candidat . Or, les électeurs sans handicap perçoivent souvent les personnes en situation de handicap comme étant vulnérables , et sous éduqués …….Les femmes handicapées étant doublement pénalisées ….

  6. Oui, ça ne ferait pas de tort.
    Cependant, ces candidats doivent également avoir une bonne maîtrise des dossiers autres que ceux qui touchent les personnes handicapées ; l’électeur moyen est préoccupé par les cônes oranges, les pitbuls, les nids de poules, lacdiurculation automobile, etc. Alors il faut être prêt à faire face à la musique.

    1. « .Le ou les candidats doivent porter une vision globale tant du point de vue politique , judiciaire ou morale »

      Eh bien voilà Mme D’Amico. Je suis bien aise de lire votre commentaire car c’est ce que j’ai toujours dit. Ce qui vous et plusieurs autres a déboussolé, c’est que j’ai été candidate pour « l’autre » parti ». .. Donc, si je suis votre logique, vous venez de le dire, quand bien même j’aurais été candidate pour le parti maintenant au pouvoir, j’aurais dû suivre la ligne de parti aussi. Ce que j’ai voulu tenter de faire et c’est la même chose pour Sylvain, je crois, ce fut d’essayer d’influencer les décideurs de l’intérieur, plutôt que de l’extérieur. C’est déjà plus que « faire de la politique » en ne donnant pas une opinion générale, mais en jugeant carrément les gens en restant…derrière son clavier d’ordinateur…

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